Ce projet est né d'échanges informels entre enseignants, leurs élèves et le référent culture de l'établissement. Le choix s'est arrêté sur l'édification d'une stèle en hommage aux victimes de l'esclavage et de la réalisation d'une plaque commémorative.
Puis, il semblait important de porter un message de liberté, d'ou le choix du poème de Paul Eluard, "Liberté, j'écris ton nom".
Enfin, le 20 décembre ne se conçoit pas sans le Maloya, joué, chanté et dansé...